Micro et casque

[Interview] Témoignage d’Adrien Fournier – Directeur Marketing chez Noelse

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Pouvez-vous me citer 3 mots clés qui caractérisaient votre accompagnement ?

Dans le cadre de mon coaching avec Philippe, il y a eu beaucoup de bienveillance, d’écoute.

Ces sessions avec Philippe m’ont permis de prendre du recul sur des situations auxquelles j’étais confronté. Chose qui n’est pas aisée lorsque l’on tente de mener cet exercice seul, je dirais donc que les mots clés sont écoute, bienveillance, et prise de recul.

Pourquoi aviez-vous décidé de vous faire accompagner ? Comment avez-vous rencontré votre coach ?

J’ai décidé de me faire accompagner dans le cadre d’une prise de fonction car j’ai pris la direction Marketing d’une entreprise familiale.

L’objectif était de me préparer à ce nouveau poste pour lequel il n’y a pas forcément d’études adaptées et de parcours spécifique. Philippe et mon père sont des connaissances de longue date, c’est donc par le biais de mon père que je l’ai rencontré. Et nous avons, après avoir fait connaissance, nous avons décidé de partir sur un accompagnement.

Comment travailliez-vous avec Philippe ?

Nous avions pour habitude d’échanger, de brainstormer de manière informelle lors des séances de coaching. Ces dernières duraient généralement une heure et demie/deux heures. Elles étaient cadencées en fonction de mes besoins et de mon agenda avec des périodes plus rapprochées et d’autres plus espacées. J’ai apprécié la flexibilité et la souplesse de cet accompagnement qui s’est parfaitement adapté à mon rythme et à mon agenda de dirigeant.

De la même manière, les thématiques abordées lors de mon accompagnement étaient variées et adaptées à mes besoins et à mon actualité de dirigeant. Parmi les sujets évoqués, je peux citer par exemple : la gestion de conflits, la gestion du changement, la gestion des équipes ou encore la gestion du stress…

Quels bénéfices tirez-vous de cette forme d’accompagnement ?

Cet accompagnement m’a notamment permis de gagner en maturité sur ce poste et en sérénité dans mon quotidien en tant que dirigeant. Les effets de cet accompagnement se font encore ressentir même post-coaching. L’accompagnement m’a permis de prendre du recul sur moi-même et d’en apprendre plus sur mes fonctionnements, sur mes forces, mes faiblesses et sur comment gérer au mieux les nouvelles situations auxquelles je pourrais être confronté.

Les dirigeants sont, parfois, réticents à l’idée de communiquer sur le fait d’être accompagné ; qu’est-ce qui explique, selon vous, ce comportement ?

Selon moi, ce comportement résulte d’un fort ego. Je constate qu’il s’agit d’un mindset que l’on retrouve surtout en Europe et beaucoup moins dans les pays anglo-saxons et asiatiques.

En Europe, l’accompagnement est souvent vu comme un palliatif au manque de compétences. Mais, de mon point de vue, ce n’est pas du tout cela, au contraire, c’est le moyen d’être meilleur et de trouver les clés aux problèmes que nous ne saurions pas gérer seul.

Il me semble important qu’en tant que dirigeant on cultive une prise de recul et un apprentissage constant. Parfois, il est possible de répéter les mêmes erreurs plusieurs fois par manque de recul ou d’échanges permettant de trouver des solutions alternatives.

Conseilleriez-vous à un(e) dirigeant(e) de se faire coacher ? Si oui, dans quelles situations ?

Je conseillerai bien évidemment à tout dirigeant de se faire coacher. Cela devrait être, selon moi, davantage démocratisé.

Diverses situations me paraissent propices à un accompagnement ; par exemple, une prise de fonction, la gestion du changement, une restructuration d’entreprise, des nouveaux défis, …

Propos recueillis par Lugh & Co

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